Dans toutes les entreprises des IEG, nous constatons les mêmes conséquences des choix déraisonnables de nos dirigeants : les menaces d’externalisation ; l’ouverture à la concurrence des concessions hydrauliques ; la fermeture de plus d’un tiers des centrales nucléaires ; les fermetures de centrales fuel et charbon ….
Ce que nous avons tous en commun, le Statut des électriciens et gaziers, notre contrat de travail, ce lien qui nous unit, est en ligne de mire pour pouvoir accélérer ce processus de casse du Service public de l’énergie.
Comme c’est le cas pour les cheminots, les statuts sont le verrou à faire sauter pour satisfaire aux impératifs dictés par la Commission européenne. Cette étape franchie, rien de s’opposerait à ce que nos régimes spéciaux volent en éclat.
Le 22 mars, faites entendre votre voix.
Défendons le Statut national des IEG, le Code du travail, notre système de retraite.
Agir, pour ne pas subir, est la seule solution.