Monsieur le Président,
Monsieur le Commissaire du Gouvernement,
C’est un véritable tsunami qui s’est abattu sur EDF et ses personnels lorsqu’ils ont appris la décision du Gouvernement conduisant à ponctionner 8 milliards d’euros sur l’Ebitda du groupe pour sauver ses concurrents.
Cette décision brutale est choquante et inacceptable.
Mais cette décision marque l’aboutissement de l’impasse de l’ouverture des marchés marquée par la loi NOME de 2010, la création de l’ARENH et les mesures d’application mises en place par la CRE.