Dans une information parue hier, la Cour des Comptes est sortie une nouvelle fois de son rôle en cherchant à imposer au gouvernement ses positions ultralibérales inspirées de Bruxelles. Cette fois-ci, c’est l’ouverture à la concurrence de l’hydraulique qui est exigée.
Dans une information parue hier, la Cour des Comptes est sortie une nouvelle fois de son rôle en cherchant à imposer au gouvernement ses positions ultralibérales inspirées de Bruxelles. Cette fois-ci, c’est l’ouverture à la concurrence de l’hydraulique qui est exigée.
Dans sa réponse, et même s’il utilise des formules conditionnelles, le gouvernement indique qu’il « semble qu’à ce stade, la mise en concurrence constitue la solution juridique la plus robuste pour optimiser le patrimoine national de l’hydroélectricité » et que « le renouvellement des premières vallées pourrait intervenir dès le premier semestre 2014. »
FO Énergie et Mines s’oppose totalement à une telle perspective. Considérer que la protection du patrimoine national passe par sa privatisation relève d’un raisonnement affligeant !
Le gouvernement doit résister aux dogmes ultralibéraux, qu’ils émanent de Bruxelles et/ou d’institutions de la République. Ces derniers seraient mieux inspirés de faire prévaloir l’intérêt général et non pas les intérêts particuliers.