La semaine dernière, pour la première fois depuis plus de soixante ans, un gouvernement est tombé à la suite du vote d’une motion de censure adoptée par une majorité de députés. Nous en avons pris acte. Cette issue semblait inéluctable depuis l’élection d’une Assemblée nationale fracturée et la nomination d’un nouveau gouvernement début septembre, dont on savait que la survie était précaire, car privé d’une majorité de députés pour le soutenir.